Bienvenue à toutes et à
tous,
Je vous invite à parcourir ce blog pour découvrir tout ce que je fais depuis le
début de ma grossesse jusqu'à ce jour mais le nombre de réalisations a diminué depuis que j'ai accouché 
.
J'espère que ce blog vous plaira et vous apportera peut-être quelques idées (n'hésitez pas à me demander des infos supplémentaires).
Laissez quelques commentaires au passage
Et oui hier c'était l'anniversaire de ma belle-mère.
A cette occasion, je lui ai fait une petite carte en fonction du moment de l'année évidemment.
Elle est toute simple mais elle est faite de bon coeur.
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Cet exercice est pour moi assez difficile car ce n'est pas du tout dans mon style mais j'ai décidé de tenter l'expérience au moins pour une rondibelle.
" On dégustera pour l'anniversaire d'Estelle
Des scampis natures avec des tagliatelles. "
Je suis super contente de moi!
J'ai réussi à créer ma pochette sans aucun modèle. Pour le cordon, c'est une chainette mais j'avais créé à la hauteur souhaitée les espacements nécessaires.
Je me suis épatée je l'avoue. Mais la pochette seule ne me plaisait pas donc j'ai ajouté une fleur en partant des explications pour la petite fleur du KAL pull brun.
En plus, j'avais dans mes restants de laine les couleurs idéales pour accompagner le collier et le bracelet.
Ca y est le sapin est venu remplacer le parc de mon petit homme.
Cette année, il est paré de papillons, noeuds papillon, boules argentées, noires et argentées et noires. Il y a également des roses blanches et pour finir, comme je n'apprécie pas vraiment les guirlandes traditionnelles, j'ai rpis un ruban pour emballage cadeau et j'ai créé les torsade avec ma paire de ciseaux.
Il reste uniquement à placer la crèche mais j'ai un chat qui a pris l'habitude de décapiter le berger donc je cherche à ma mettre en hauteur pour qu'il puisse avoir un Noël tranquille.
Et pour vos vases vides, j'ai aussi mon petit truc qui apporte une jolie touche à la décoration généralement.
.L´univers de Griet bascule un jour de 1664 où elle doit devenir la servante d’une famille de catholiques qui vit à Delft dans « le coin des Papistes ». A 16 ans, Griet, fille du céramiste Jan aveugle depuis un accident de travail, pourvoira en partie aux besoins de sa famille grâce aux huit florins par jour qu’elle gagnera en échange des corvées domestiques épuisantes qui vont être son lot pendant de longs mois. Mais Griet est protestante, elle n’a jamais fréquenté de près des catholiques aux moeurs bizarres. Qui plus est, son univers, modeste, se réduit au petit monde des ouvriers et des marchands de viande, le domaine de la peinture lui est radicalement étranger, de même que la vie au quotidien auprès de six enfants ! Les corvées ménagère seront à la hauteur de sa méfiance car pendant deux ans, Griet nettoiera, époussettera les moindres recoins de la maisonnée et lavera des tonnes de linge. Heureusement pour elle, si l’accueil dans cet univers intérieur régi par des femmes (Catharina la femme pondeuse du peintre, Maria Thins sa belle-mère, Tanneke la bonne à tout faire avant l’arrivée de Griet, Cornelia la méchante enfant qui ne cherche qu’à lui nuire), l’artiste qui la reçoit chez lui n’est pas n’importe qui : Vermeer. Un Vermeer habité, pour ne pas dire hanté, par la fièvre créatrice et qui ne recule devant rien pour faire avancer chacun de ses tableaux, Griet l’apprendra bientôt à ses dépens…
Si ce beau roman de Tracy Chevalier fascine, c’est par l’aisance avec laquelle le lecteur se trouve introduit dans la vie austère des familles hollandaises au XVIIe siècle. D’un côté, le dur milieu des petites gens qui ne répugnent point à la peine car pétris de l’idéal protestant ; de l’autre, les difficultés pour un artiste ayant renié sa religion d’origine à nourrir sa famille nombreuse quand il ne fait et vend que deux tableaux par an tout au plus. Le tour de force réside dans l’alternance entre ces deux points de vue, que ne sépare souvent, outre l’immense génie de l’un contre le seul talent des autres, que l’adhésion à un dogme. Des états d’âme de Griet, jeune fille se métamorphosant en femme, servante s’attirant peu à peu d’inédites faveurs du maître, aux inquiétudes des parents en passant par les complots ourdis à leur niveau par chaque protagoniste, La jeune fille à la perle constitue surtout un hommage à l’art de peindre, qui met en particulier l’accent sur la toile éponyme de Vermeer. Un tableau auquel Griet est d’autant plus sensible qu’elle en est le modèle et qu’il va en un certain sens provoquer sa perte ! En effet, Vermeer sollicite au fur et à mesure la jeune fille pour qu’elle l’aide à peindre : si le travail de la servante consiste d’abord dans l’art de nettoyer les objets inscrits dans le décorum de chaque tableau sans les bouger d’un iota, il s’agit ensuite d’aider Vermeer à broyer puis mêler ses pigments en cachette. De prendre part, grâce à « la chambre noire » de son ami Leeuwenhoeuk, à la disposition de chaque toile dans ses moindres détails. Une participation de plus en plus active à l’œuvre qui atteint son paroxysme lorsque l’expert en vue de Delft en portraits lui demande, sous la pression de son commanditaire Van Ruijven, amateur de jolies ancillaires, de la coucher sur toile à son tour.
Bonjour tout le monde,
Pour ne pas vous accabler d'articles qui peut-être ne vous intéressent pas, mais surtout sur un thème tellement différent de ce blog-ci, j'ai créé un nouveau blog afin de vous faire partager mes écrits plus longs qu'une petite page.
Je vous invite donc à venir lire ma première nouvelle dans laquelle j'ai inséré le défi de mot n°13 de Bruno concernant l'ascenseur. Je souhaiterais vous demander de me donner votre avis car cette nouvelle sera soumise à un concours d'ici le 15 décembre et comme c'est mon premier écrit, je suis assez intriguée de savoir ce que vous pourriez en penser.
Merci d'avance à toutes et à tous.
Je vous présente ma couronne de l'Avent faite aussi avec mes petites mains.
C'est tout simple mais sur ma table de salon, elle donne super bien. Et pour une première année, pour une seconde couronne, je trouve qu'elle est pas trop mal en fin de compte. Reste plus qu'à allumer les petites bougies
Comme mon mari devait aller déposer ma décoration rouge chez mon papa qui veut faire son sapin en rouge cette année (moi je n'en ai pas besoin cette année), je lui ai fait une couronne de l'Avent pour qu'il puisse en profiter tout de même un peu avec ma petite soeur.
C'est ma première tentative et je dois avouer que je suis contente du résultat.
J'attends donc maintenant son retour chez lui samedi pour qu'il me dise ce qu'il en pense.
Bon je dois avouer, je préfère le résultat en vrai qu'en photo.
Les voici, les voilà, les petites bottes de Nöel.
Nous serons 12 à table mais si mon tit Lionel se joint à nous par moment, nous serons 13.
J'ai donc fait 13 petites bottes pour y glisser le prénom de chacun des invités qui seront présents.
Je vais les donner aujourd'hui à ma maman mais malheureusement, je n'ai pas été faire de courses donc je n'ai pas su acheter les pralines à glisser dedans comme elle le souhaitait. Je trouverai peut-être d'ici au 25 décembre. Je vais bien voir avec elle si elle le souhaite toujours.
"L'escalier"
Après l'ascenseur, un peu d'exercice
avec l'escalier de vos souvenirs
celui qui a marqué votre enfance
un voyage, l'histoire, un fait divers.....
Ecrivez un texte, récit en prose ou poésie
sur ce thème de "l'escalier"
Bon courage et ne sautez pas trop les marches !
Chouette, chouette, chouette m'écriais-je lorsque Papa mannonca que pour une fois, nous partions en ville avec Marraine et ma petite cousine Roxane. Ce n'est pas souvent que ça arrive.
On monte dans la voiture, Marraine attache Roxane dans son siège enfant pendant que je clipse ma ceinture de sécurité.
Papa fait ronronner le moteur et nous emmène en ville. Manque de chance, aujourd'hui il pleut. Il va falloir sortir le parapluie à moins que cesse de tomber ces gouttes de malheur. Je croise les doigts pour l'arrêt d'ici à ce que nous soyons arrivés.
Lorsque Papa gare enfin la voiture, nous sommes dans un parking souterrain caril n'a pas trouvé de place dansles rues par lesquelles nous sommes passés.
Evidemment, pour rejoindre la surface, je me retrouve devant un escalier dont le nombre de marches me semblent insurmontables. Papa me propose de m'aider à monter. Du haut de mes cinq ans, je lui annonce que je sais grimper cet escalier comme une grande.
Il décide dès lors d'aider Marraine à monter le landau dans lequel se trouve Roxane. Je décide donc de poser mon pied sur la première marche tout en me tenant à la rambarde car je suis prudente tout de même. La première volée de marches est avalée sans aucun soucis.
J'entame la seconde volée qui me mène directement à l'air frais. Je vois que Papa arrive en haut des marches. Par chance, la pluie a cessé mais le sol est toujours humide.
Tout à coup, alors que je viens de poser mon pied sur la première marche mouillée, je le sens se dérober. Je tente de me retenir à la rambarde mais ma petite main glisse elle aussi. Ce qui devait arriver, arriva. Mes dents rencontrent le bord de la marche.
Papa se précipite pour voir les dégâts. Je saigne, il ne voit pas bien. Pour avoir plus facile, il prend mon gilet blanc - déjà taché de sang - pour m'éviter de paniquer. Vu ma bouche, l'après-midi shopping est annulée et une visite aux urgences s'impose.
En plus d'une dent cassée, une jolie cicatrice vient orner mon visage, plus exactement, juste en-dessous de la lèvre inférieure. L'anesthésie, les points de suture et le choc m'incitent à une bonne sieste en espérant qu'à mon réveil, la douleur ne sera pas trop forte.
On m'y reprendra à avoir de jolies petites chaussures et de monter un escalier mouillé. Je ne pense pas être prête à recommencer l'expérience.
Désolée de ne pas avoir mis le lien vers le blog de Bruno mais insérer un lien ne fonctionne pas pour le moment il m'indique une erreur.
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4ème de couverture par ICI
Bonne visite
